Cette déclaration diffusée ce lundi par les canaux du secrétariat général du cartel mondial a été faite par le cheikh Muhammad al-Sabah, ministre des Affaires étrangères du Koweït, pays membre de l'OPEP qui a lui aussi voté pour la réduction à partir du 1er avril des exportations de brut d'un million de barils par jour.
D'autre part, le ministre koweïtien a souligné que la décision de la conférence de Vienne n'avait pas entraîné de nouvelle hausse rapide du prix de l'"or noir".
"Le Koweït estime qu'il ne faut pas adopter de décision susceptible d'influer négativement sur la croissance de l'économie globale et que son point de vue reste inchangé", a dit le ministre.
Les décisions des assemblées supérieures du cartel mondial sont adoptées à l'unanimité, c'est pourquoi les experts ne comprennent pas la position du Koweït qui, ayant voté à la conférence de Vienne pour la réduction des quotas, affirme maintenant que cette décision était erronée et irrationnelle.