"A l'issue de cette échauffourée, Lobar Kaïnarova a eu certaines lésions légères du corps, et des soins médicaux lui ont été prodigués sur place. Toujours est-il que la journaliste a refusé l'hospitalisation", a noté Svietlana Artykova.
"Quoi qu'il en soit, sur cet incident, une action en justice a été mise en mouvement selon l'article "pour avoir infligé des lesions corporelles" du Code pénal. L'enquête est menée par la police", a ajouté la porte-parole du Parquet général de l'Ouzbékistan.
Auparavant, en se référant à la radio "Liberté", l'Agence Associated Press a annoncé que la correspondante avait été battue.
Comme on append notamment de cette déclaration, Lobar Kaïnarova se trouvant au quatrième mois de sa grossesse avait été agressé, vendredi dernier, par des inconnus qui l'avait frappée plusieurs fois au ventre et lui avaient cassé le nez. On lui aurait pris son dictapone. La jeune femme aurait été hospitalisée, selon ladite déclaration.
Il n'y a pas longtemps, la journaliste avait interviewé l'un des opposants. Juste après cela, des inconnus s'étaient mis à la menacer, tout en exigeant d'elle qu'elle ne s'ingère pas dans la politique, apprend Agence AP.