Des centaines de personnes sont descendues dans les rues samedi 29 février dans la soirée, après la fin de l’acte 68, pour dénoncer la décision prise par le Premier ministre de faire adopter le projet de réforme des retraites en recourant à l'article 49.3 de la Constitution, soit sans vote.
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#SputnikVidéo | La manifestation improvisée à Paris contre l’adoption du projet de #réformedesretraites en recourant à l'article 49.3 de la Constitution.https://t.co/yyfQ5MkfWX#49al3 #GreveGenerale #ÉdouardPhilippe pic.twitter.com/90JL6RdNIQ
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Scandant «Face au 49.3, on n'arrêtera pas de lutter!», les manifestants se sont réunis devant l’Assemblée nationale où, plus tôt dans la journée, a été annoncée la mesure contestée.
#SputnikVidéo | «Soulève-toi! Paris, debout !», crient les manifestants rassemblés près de l’#AssemléeNationale où #ÉdouardPhilippe a annoncé le recours à l’article 49.3https://t.co/yyfQ5MkfWX#49al3 #GreveGenerale pic.twitter.com/442c5z1y3S
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Deux motions de censure ont suivi les annonces du chef du gouvernement, par les députés LR et par les trois groupes de gauche à l'Assemblée (PS, LFI, PCF), ainsi que que Jennifer de Temmerman (non-inscrite, ex-LREM).
Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, a dénoncé «l'attitude profondément scandaleuse» du gouvernement et annoncé une mobilisation des syndicats «dès la semaine prochaine» pour protester contre le recours au 49.3 sur la réforme des retraites.
