Les chercheurs de l'Université Cornell à Ithaca, ville du nord-est américain, ont découvert que le fait de partager des posts sur Twitter ne contribue pas à la mémorisation de l'information. Au contraire: ceux qui en abusent peinent à mémoriser le contenu des articles partagés, lit-on dans le journal Computers in Human Behavior.
Certains candidats ont dû partager des infos tandis que les autres n'avaient pas d'autre choix que de les lire sans poster sur son mur ou envoyer à leurs amis.
Ensuite, des chercheurs ont proposé aux étudiants de passer un test de mémoire comprenant les questions sur le contenu des articles partagés. Il s'est avéré que les personnes qui n'avaient pas partagé d'articles avaient mieux saisi leur idée.
Une telle particularité pourrait avoir des conséquences négatives non seulement dans le cadre des réseaux sociaux mais également porter atteinte aux succès scolaires et universitaires.