"On me demande souvent s'il y a quelque chose qui m'aide jusqu'à présent dans mon travail quotidien. Oui, sans doute. Le travail d'un agent des services de renseignement exige qu'on soit bien informé des problèmes de la politique intérieure et des problèmes internationaux", a-t-il indiqué, avant de faire ressortir la "communicabilité", car il faut "respecter ses partenaires et ménager leurs intérêts".
"Nous vivions dans un autre pays, dans un autre monde. Les agents des forces de l'ordre et des services secrets, y compris des services de renseignement extérieur où j'ai eu la chance de travailler, veillaient à la protection des intérêts de leur pays et de leur peuple", a raconté Vladimir Poutine, invitant à oublier la composante "idéologique".
Les autres pays ont agi de même et avec autant d'efforts. "C'était la confrontation de deux systèmes qui s'excluaient l'un l'autre. Dieu merci, cela appartient au passé, et je pense que le passé ne devrait pas nous empêcher d'aller de l'avant", a résumé le chef de l'Etat.