"Un acte aussi effronté qu'une attaque contre nos intérêts et notre intégrité territoriale est tout bonnement impossible", a déclaré aux journalistes M. Elham.
Le 6 juin dernier, le ministre israélien des transports Shaoul Mofaz avait évoqué la possibilité d'une attaque contre Téhéran, si celui-ci ne mettait pas un terme à son programme nucléaire.
Vendredi, le New York Times a pris le relais en affirmant qu'au cours de la première semaine de juin, plus d'une centaine d'avions F-16 et F-15 israéliens avaient mené des exercices militaires, que certaines sources anonymes du Pentagone ont qualifié de "répétition d'éventuelles frappes contre les sites nucléaires" de Téhéran, accusé par différents pays, Etats-Unis et Israël en tête, de vouloir acquérir la bombe atomique.
Le directeur général de l'AIEA Mohamed El-Baradei a déclaré qu'il présenterait sa démission en cas de confirmation de ce scénario militaire.