Le Festival « Drougoï Théâtre » s’est ouvert à Moscou. C’est le projet conjoint du Théâtre des nations et du Centre culturel français à Moscou. Les mises en scènes originales et expressives sont présentées à ce Festival engagé il y a deux ans. Les auteurs corrèlent audacieusement le drame et la danse, le cinéma, le cirque, la pantomime et la peinture
Cette année « Drougoï Théâtre » a présenté le spectacle « Plan B » d’Aurelien Bory ayant réuni sur la scène l’art vidéo, le cirque et le drame. Il est prévu de présenter le monospectacle de Bonaventure Gacon « Par le Boudu » où l’on trouvera de l’humour noir et de la clownerie ainsi que le projet russo-français « Molodetz » d’après le poème de Marina Tsvetaeva. Le public russe a vu ces derniers jours la pièce des plus lugubres du dramaturge espagnol célèbre Federico Garcia Lorca « La maison de Bernarda Alba ». La musique et à la base du spectacle. C’est tantôt une vieille chanson andalouse, tantôt le bruit minutieusement réfléchi. Le spectateur est entraîné dès le début dans l’ambiance du spectacle. L’action se produit dans un village andalou des années 30 du IXe siècle. Une femme riche et ses cinq filles observent un deuil prolongé en hommage du maître de la maison. Le plus beau gars du village fait la cour à la fille aînée à qui le père a laissé sa fortune et en même temps à la fille cadette et c’est un authentique drame.
L’œuvre du dramaturge espagnol est inséparable de son époque et peu de théâtres décident de l’inclure dans leur répertoire. Cependant, le metteur en scène suisse Andrea Novicov et sa troupe « Compagnie Angledange » ont réussi à en faire une pièce d’actualité.
Cette année « Drougoï Théâtre » a présenté le spectacle « Plan B » d’Aurelien Bory ayant réuni sur la scène l’art vidéo, le cirque et le drame. Il est prévu de présenter le monospectacle de Bonaventure Gacon « Par le Boudu » où l’on trouvera de l’humour noir et de la clownerie ainsi que le projet russo-français « Molodetz » d’après le poème de Marina Tsvetaeva. Le public russe a vu ces derniers jours la pièce des plus lugubres du dramaturge espagnol célèbre Federico Garcia Lorca « La maison de Bernarda Alba ». La musique et à la base du spectacle. C’est tantôt une vieille chanson andalouse, tantôt le bruit minutieusement réfléchi. Le spectateur est entraîné dès le début dans l’ambiance du spectacle. L’action se produit dans un village andalou des années 30 du IXe siècle. Une femme riche et ses cinq filles observent un deuil prolongé en hommage du maître de la maison. Le plus beau gars du village fait la cour à la fille aînée à qui le père a laissé sa fortune et en même temps à la fille cadette et c’est un authentique drame.
L’œuvre du dramaturge espagnol est inséparable de son époque et peu de théâtres décident de l’inclure dans leur répertoire. Cependant, le metteur en scène suisse Andrea Novicov et sa troupe « Compagnie Angledange » ont réussi à en faire une pièce d’actualité.
Andrea Novicov a raconté avant la première du spectacle à notre correspondante Olga Viaziguina comment il a réussi à chosir de nouvelles formes pour réaliser cette mise en scène originale.
C’était un reportage d’Olga Viaziguina sur la première du spectacle « La maison de Bernarda Alba » présenté sur la scène du Théâtre Meyerhold dans le cadre du projet « Drougoï Théâtre ».
C’était un reportage d’Olga Viaziguina sur la première du spectacle « La maison de Bernarda Alba » présenté sur la scène du Théâtre Meyerhold dans le cadre du projet « Drougoï Théâtre ».
