(Sur fond) La cérémonie de transition du pouvoir s’est déroulée ce mardi à Washington. Elle était la plus spectaculaire et la plus coûteuse de l’histoire des Etats-Unis. L’événement est historique grâce au nouveau 44e président américain, Barack Obama, premier Afro-américain à ce poste, confirmant que « le rêve américain » s’incarnait par le jeune président démocrate, soutenu par la plupart des gouvernements étrangers et l’opinion publique. Quelques détails avec notre envoyée spéciale Elisaveta Issakova.
Ayant prêté serment devant une foule enthousiasmée de compatriotes, Barack Obama va à présent essayer d’appliquer le mot d’ordre de sa campagne électorale, en mettant en œuvre des changements qu’il croit lui-même possibles.
La cérémonie se déroulait sur fond de mesures de sécurité sans précédent pour une telle occasion, mobilisant plus de 40 mille policiers et militaires. Environ deux millions de personnes sont venues suivre l’événement, soit quatre fois la population de Washington. L’Obamanie a atteint des proportions grandioses. On s’arrache les souvenirs à son effigie, les livres qu’il a publiés au cours de la campagne électorale. La cote de popularité du nouveau président avant même son entrée dans les fonctions a atteint 84 %. Il est vrai que la veille M. Obama a demandé à ses électeurs de ne pas fonder trop d’espoirs en lui, puisque la nouvelle administration prend les rennes du pays dans une situation difficile, en pleine crise financière et internationale.
Ayant prêté serment devant une foule enthousiasmée de compatriotes, Barack Obama va à présent essayer d’appliquer le mot d’ordre de sa campagne électorale, en mettant en œuvre des changements qu’il croit lui-même possibles.
La cérémonie se déroulait sur fond de mesures de sécurité sans précédent pour une telle occasion, mobilisant plus de 40 mille policiers et militaires. Environ deux millions de personnes sont venues suivre l’événement, soit quatre fois la population de Washington. L’Obamanie a atteint des proportions grandioses. On s’arrache les souvenirs à son effigie, les livres qu’il a publiés au cours de la campagne électorale. La cote de popularité du nouveau président avant même son entrée dans les fonctions a atteint 84 %. Il est vrai que la veille M. Obama a demandé à ses électeurs de ne pas fonder trop d’espoirs en lui, puisque la nouvelle administration prend les rennes du pays dans une situation difficile, en pleine crise financière et internationale.
La Russie se prépare déjà à coopérer avec la nouvelle administration et attend des Etats-Unis des changements positifs en politique internationale. C’est ce qu’a déclaré ce mardi le ministre des AE de Russie Sergueï Lavrov à une conférence de presse à Moscou :
La Russie est prête à coopérer avec la nouvelle administration des Etats-Unis sur la base des principes de la déclaration de Sotchi, signé en avril 2008, qui gardent leur signification. Ils prévoient de développer un partenariat là où les positions des parties coïncident, et de coopérer étroitement là où elles divergent. En appliquant ces principes nous pourront avancer dans nos relations, qui ont déjà engrangé bien des choses positives. Nous espérons que les litiges trouvent leur règlement sur la base du pragmatisme, sans engagement idéologique, qui était propre à l’administration précédente, a dit M. Lavrov.
On ne doit pas exclure, d’ailleurs, une rencontre prochaine entre le chef de l’Etat russe et le nouveau président des Etats-Unis. Et leurs contacts ultérieurs pourraient parfaitement apporter ces mêmes changements, que nous espérons tous et en quels nous croyons.
La Russie est prête à coopérer avec la nouvelle administration des Etats-Unis sur la base des principes de la déclaration de Sotchi, signé en avril 2008, qui gardent leur signification. Ils prévoient de développer un partenariat là où les positions des parties coïncident, et de coopérer étroitement là où elles divergent. En appliquant ces principes nous pourront avancer dans nos relations, qui ont déjà engrangé bien des choses positives. Nous espérons que les litiges trouvent leur règlement sur la base du pragmatisme, sans engagement idéologique, qui était propre à l’administration précédente, a dit M. Lavrov.
On ne doit pas exclure, d’ailleurs, une rencontre prochaine entre le chef de l’Etat russe et le nouveau président des Etats-Unis. Et leurs contacts ultérieurs pourraient parfaitement apporter ces mêmes changements, que nous espérons tous et en quels nous croyons.
