Le gouvernement russe a adopté le plan anticrise rénové approuvé à la séance présidée par Vladimir Poutine. Le nouveau plan est fondé sur le programme de mesures anticrise approuvé par la Douma d’Etat.
Le chef du gouvernement a critiqué les ministres pour les efforts inefficaces ayant exigé qu’ils apprécient les résultats des mesures déjà appliquées.
Nous signalons souvent l’inefficacité des activités des organes de gestion régionaux en élaborant les critères. Il faut s’adresser aux instruments anticrise. Comment sont-ils mis à profit ? Combien vite réagissons-nous à tels ou tels événements ? Quels sont les résultats de nos efforts pour les gens concrets ?
Le chef du gouvernement a critiqué les ministres pour les efforts inefficaces ayant exigé qu’ils apprécient les résultats des mesures déjà appliquées.
Nous signalons souvent l’inefficacité des activités des organes de gestion régionaux en élaborant les critères. Il faut s’adresser aux instruments anticrise. Comment sont-ils mis à profit ? Combien vite réagissons-nous à tels ou tels événements ? Quels sont les résultats de nos efforts pour les gens concrets ?
Cependant, malgré les lacunes, la situation en Russie évolue positivement, estime le gouvernement.
Le gouvernement russe accorde près de 12% du PIB : 90 milliards de dollars pour les mesures anticrise. Les crédits sont accordés en premier lieu pour soutenir le secteur bancaire, le secteur réel de l’économie, le marché du travail et de l’emploi. Selon Vladimir Poutine, on en ressent déjà les résultats positifs. Le taux de chômage officiellement enregistré a cessé d’augmenter, l’inflation s’est ralentie, la Banque centrale de Russie a décidé de baisser le taux d’escompte. Les autorités russes se proposent d’atténuer les conséquences de la crise et d’assurer la reprise de la croissance économique stable en stimulant l’implantation des innovations et la modernisation de l’industrie.
Vladimir Poutine a dit que la décision d’adhérer à l’OMC en tant qu’Union douanière : Russie, Biélorussie et Kazakhstan tombait bien à propos dans le contexte de la crise.
Le gouvernement russe accorde près de 12% du PIB : 90 milliards de dollars pour les mesures anticrise. Les crédits sont accordés en premier lieu pour soutenir le secteur bancaire, le secteur réel de l’économie, le marché du travail et de l’emploi. Selon Vladimir Poutine, on en ressent déjà les résultats positifs. Le taux de chômage officiellement enregistré a cessé d’augmenter, l’inflation s’est ralentie, la Banque centrale de Russie a décidé de baisser le taux d’escompte. Les autorités russes se proposent d’atténuer les conséquences de la crise et d’assurer la reprise de la croissance économique stable en stimulant l’implantation des innovations et la modernisation de l’industrie.
Vladimir Poutine a dit que la décision d’adhérer à l’OMC en tant qu’Union douanière : Russie, Biélorussie et Kazakhstan tombait bien à propos dans le contexte de la crise.
