Revue de presse № 2

© Photo: RIA NovostiRevue de presse № 2
Revue de presse № 2 - Sputnik Afrique
S'abonner

L'UE n'a pas reconnu que Timochenko est une prisonnière politique, annonce le journal « Vzgliad ». L'Union Européenne ne classe pas l'ex-Premier ministre ukrainien Нoulia Timochenko, l'ex-ministre de l'Intérieur Youry Loutsenko et d'autres fonctionnaires de la convocation précédente du gouvernement parmi les prisonniers politiques, a déclaré le commissaire de l'UE à l'élargissement et à la politique européenne de voisinage Stefan Füle. «Je vois la différence entre les cas problématiques  en Ukraine et les prisonniers politiques en Biélorussie à qui nous attribuons ce statut. En Biélorussie leur arrestation a été entraînée par ce qu'ils se prononçaient contre la dictature de Loukachenko. En Ukraine il est question de la qualité de la législation et du niveau de l'indépendance du système judiciaire. En même temps nous voyons que le pouvoir fait tout le possible  pour corriger les défauts qui existent », a expliqué Füle.

La Russie soutient la demande de l'Ukraine d'organiser les JO d'hiver de 2022, annonce « Rossiïskaya Gazeta ». Le président du Comité olympique de Russie Alexandre Joukov et le président du Comité olympique national d'Ukraine Sergueï Boubka ont signé un mémorandum sur la coopération. Le mémorandum prévoit l'activité commune dans l'organisation des compétitions bilatérales, l'assistance pendant la préparation des sportifs, des entraîneurs et d'autres spécialistes dans le domaine du sport. C'est très actuel aujourd'hui la veille des JO d'hiver à Sotchi. Le mémorandum sera valable jusqu'au 31 décembre 2014. « Nos collègues ukrainiens voudrais savoir plus sur notre expérience de promotion de notre demande Sotchi-2014, a raconté Alexandre Joukov. - De ma part je peux dire que le Comité olympique de Russie fera tout pour soutenir l'Ukraine dans cette question».

« Adidas » a renoncé au coton uzbek, annonce « Nezavissimaya Gazeta ». Plus de 60 compagnies célèbres, dont Adidas Group, Burberry, Levi Strauss & Co et d'autres ont boycotté le coton de l'Asie centrale. Ils ont expliqué leur décision par ce que ces pays malgré la Convention  signée, utilisent le travail des enfants pendant la cueillette du coton. Ils ont fait surtout un accent sur l’Ouzbékistan. Tachkent ne commente pas la situation. Une source du journal « Nezavissimaya Gazeta », proche au ministère des Affaires Etrangères d’Ouzbékistan, le boycottage n'influencera pas réellement la situation des choses. Plus de 300 entreprises et sociétés étrangères se rendront à Tachkent le 12-13 octobre pour participer à la  VII Foire internationale de coton. 

Fil d’actu
0
Pour participer aux discussions, identifiez-vous ou créez-vous un compte
loader
Chat
Заголовок открываемого материала