Selon le ministre, le gouvernement malaisien a l'intention de travailler avec les autorités ukrainiennes et les miliciens afin de fournir l'accès au site du crash, sur lequel restent les dépouilles des victimes de l'accident.
Précédemment, un groupe de 30 policiers qui sont arrivés en Ukraine de la Malaisie, ne pouvait pas aller sur le site de l'accident en raison de la menace pour leur sécurité.