Le représentant de l'inspection tchèque du commerce a précisé que le propriétaire de l'hôtel pratique la discrimination des clients sur la base de leur appartenance à un Etat particulier, et sera condamné à une amende maximale prévue dans ce cas. Le propriétaire a fait appel de la décision, mais la procédure lui a été refusée.
En mars, le propriétaire de l’hôtel Brioni a mis à l’entrée de son établissement une pancarte précisant que les touristes russes sont interdits de séjour dans l’hôtel. Selon l’homme, il voulait exprimer de cette manière sa protestation contre l’adhésion de la Crimée à la Russie. Cette décision a provoqué la condamnation de l’opinion publique.