Lors d'une réunion du parti Union pour un mouvement populaire à Aulnay-sous-Bois, Sarkozy a déclaré que Paris devait tenir sa parole sur le contrat pour la livraison de navires de classe Mistral.
« Ce que je n'accepte pas, c'est qu'on décide la suspension de la livraison des Mistral de manière piteuse la veille d'un sommet de l'Otan parce que le président des Etats-Unis d'Amérique vous le demande. La France se détermine par elle-même, non pas parce que tel ou tel lui demande d'avoir une position », a-t-il déclaré.