"Aujourd'hui, la situation est totalement différente. Nous ne sommes pas devant une nouvelle guerre mondiale", a-t-il déclaré vendredi aux journalistes.
Bien que les sanctions décrétées contre la Russie aient un impact négatif substantiel sur l'économie italienne, Rome les considère comme le "mal nécessaire".
"Cependant, l'Italie a toujours insisté pour que les sanctions soient proportionnelles et réversibles, c'est-à-dire qu'elles répondent à l'évolution de la situation", a ajouté M. Gentiloni.
Selon lui, la Russie est un pays très important. Aussi il faut "surmonter les désaccords et rétablir les relations", a conclu le chef de la diplomatie italienne.