Il a déclaré que Bruxelles n'était pas en droit de « donner à la Turquie une leçon de démocratie ». Selon lui, les Turcs eux-mêmes étaient prêts à enseigner la démocratie à l'Union européenne.
Selon le président turc, les autorités de l'UE doivent « se regarder dans le miroir » et voir leurs actions en Egypte et en Syrie. Il a ajouté que la Turquie n'avait pas l'intention d'être un « portier » de l'Europe au Proche-Orient. /N