Selon une source proche de l'enquête, "cela ressemble au mode d'action préconisé par le groupe Etat islamique (EI)", actif en Syrie et en Irak "de s'en prendre ainsi aux forces de l'ordre", rapporte l'AFP.
Vers 14H00 locales (13H00 GMT), un homme armé d'un couteau est entré au commissariat et a blessé au visage un policier qui se trouvait à l'accueil, ainsi que deux autres avant d'être "abattu" par "des policiers présents, qui ont fait usage de leur arme administrative", a précisé le ministère de l'Intérieur dans un communiqué.
L'agresseur, un Français né au Burundi en 1994, connu des services de police pour des faits de droit commun, "a crié Allahou Akbar (Dieu est grand, en arabe NDLR) du moment où il est entré jusqu'à son dernier souffle", a-t-on affirmé à l'AFP de source proche de l'enquête.
Les pronostics vitaux des trois policiers blessés ne sont plus engagés.