L’ONU a persuadé les parties au conflit libyennes à emprunter un chemin de réconciliation

L’ONU a persuadé les parties au conflit libyennes à emprunter un chemin de réconciliation
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La Libye doit être un Etat uni et démocratique fondé sur la suprématie de la loi et le respect des droits de l’homme.

Les représentants des parties libyennes ont partagé cet objectif aux pourparlers ayant eu lieu les 14 et 15 janvier à Genève sous l’égide de la Misnul, la forces des Nations Unies pour la Libye. Ce premier cycle de discussions a permis un accord sur un agenda avec l'ambition de former un gouvernement d'unité. Les participants aux pourparlers ont exhorté « tous les pays à cesser les affrontements » ce qui contribuera à une ambiance constructive lors d’un dialogue entre les émissaires des villes, des groupes armés, des tribus, des milieux publics avec les politiciens.

Or, il est possible que l’absence de leaders des dénommées milices populaires et de plusieurs groupes djihadistes à la table de négociation entrave la réalisation de l’objectif fixé à Genève consistant à faire renaître la Libye qui s’est transformée pendant trois ans après l’assassinat de Mouammar Kadhafi en un pays de chaos politique et d’arbitraire.

Le journaliste et politologue tunisien Yassen Zenati, l’interlocuteur permanent de notre observateur Igor Yazon, a dit ce qui suit à ce sujet dans une interview qu’il lui a accordée par téléphone de Paris.

 

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