"Selon nos estimations, de 2.000 à 4.000 citoyens de l'Asie centrale sont partis dans les territoires contrôlés par l'EI, afin de combattre aux côtés de cette dernière", indique le rapport.
Selon les auteurs du rapport, "tant que les cinq Etats d'Asie centrale ne mettront pas au point un plan concret et coordonné d'action, visant notamment à renforcer la sécurité et à mettre en œuvre des réformes sociales et politiques, le radicalisme ira croissant et finira par créer une menace sérieuse pour leur stabilité".