"LUKOIL a intérêt à ce que les circonstances réelles de cette affaire soient élucidées intégralement et de manière objective. La société est prête à coopérer avec les autorités d'instruction et à leur fournir toutes les informations requises sur son activité en Ukraine", lit-on dans le communiqué.
Le 16 janvier, le SBU a ouvert une procédure pénale pour "financement du terrorisme" par des structures faisant partie de LUKOIL et de VETEK, autre société russe opérant en Ukraine.
LUKOIL a rejeté cette accusation. Le groupe n'a pas exclu non plus la possibilité de saisir la justice ukrainienne.