L'édition souligne que, tout au long de l'histoire américaine, les tirs dans les écoles ont fait de ces institutions d'enseignement, censées d'être des endroits tranquilles, des structures où de tels évènements tragiques peuvent se produire.
En 2012, un homme a tué 20 enfants dans une école maternelle, six membres du personnel de l'école, sa mère ainsi que lui-même à l'école de Sandy Hook, à Newtown. La même année, au collège d'Oikos, à Oakland, un ex-étudiant tuait sept personnes, et en blessait trois autres.
En 2007, lors d'une fusillade sur le territoire de l'université technologique de Virginia, un étudiant a tué 32 personnes.
Des évènements terribles ont eu lieu en 2005, lorsqu'un étudiant du Minnesota a tué son grand-père et une autre personne chez lui, pour se rendre ensuite à son école, où il a ouvert le feu, tuant une personne de garde, un enseignant et cinq étudiants, avant de mettre fin à ses jours.
En 1999, deux jeunes de 17 et 18 ans en tuaient 13 autres sur le territoire de la désormais tragiquement célèbre école Columbine, avant de se donner la mort.
The Washington Post évoque également des évènements datant de 1927, alors qu'un agriculteur avait effectué une attaque à la bombe contre une école. 45 personnes avaient été tuées, dont 38 enfants.
