"Nous avons analysé plusieurs aspects de la pratique du tatouage: le nombre total de tatouages réalisés, le nombre d'heures passées sur la tables du tatoueur, le nombre d'années écoulées depuis le premier tatouage, la surface totale de la peau couverte par le tatouage et le nombre de sessions de tatouage", lit-on dans le texte de l'étude cité par Tech Times.
"La pratique d'un premier tatouage ressemble à votre premier entraînement dans un gymnase. Après cet entraînement, vous vous sentez crevé et vous avez mal aux muscles. Mais à force d'entraînement, vos muscles se fortifient et vous vous sentez de moins en moins fatigué au fur et à mesure que vous fréquentez le gymnase", écrit le journal Tech Times. Evidemment, les aiguilles injectant l'ancre dans la peau fatiguent l'organisme, mais elles lui procurent également une charge utile.
Tech Times indique qu'en réalité l'étude n'est pas suffisamment représentative car elle n'a engagé qu'un nombre très réduit de participants.
Par ailleurs, les chercheurs n'excluent pas la possibilité d'une autre explication des résultats de cette étude: les personnes qui ont une plus forte immunité se rétablissent plus vite après le tatouage, ce qui les rend plus motivées à se faire tatouer une nouvelle fois.