Le festival international de photojournalisme Visa pour l'Image vient de s'achever dans la ville de Perpignan où il a lieu chaque année depuis 1989, de fin août à mi-septembre, pour une durée de 15 jours, plus une 3e semaine réservée aux scolaires. Il s'agit du principal et plus important festival de photojournalisme au monde.
A Visa pour l’image, l’Etat islamique dans les têtes et sur les murs https://t.co/7sBiZ1mRkI
— Vianney Mad ✏ (@VianneyMadeline) 5 сентября 2016 г.
Depuis les quelques dernières années, les menaces à l'échelle internationales ont prédominé sur les autres sujets importants de l'actualité. Or, la tonalité de cette dernière édition du festival a été particulièrement sombre: risques accrus face au terrorisme, Daech, journalistes pris pour cibles, calvaires des réfugiés fuyant la guerre, pièges de la propagande de l'Etat islamique, épidémie de zika, troubles au Soudan du Sud, guerre en Afghanistan, femmes et violences sexuelles, pour n'en nommer que quelques-uns.
A war of words, or imagery? Frontline photography from 'Visa Pour L'Image' — France 24 — https://t.co/fkP0DIUBek
— Josep Maria Escoda (@jmescoda) 5 сентября 2016 г.
Le premier prix de ce festival pour l'année 2016, Visa d’or, a été décerné au photographe Aris Messinis, de l’Agence France Presse, pour sa couverture du sujet sur les réfugiés s’échouant sur les côtes européennes dans son pays d’origine, la Grèce.
En outre, parmi les expositions marquantes, on a distingué l'ouvrage de Yuri Kozyrev sur le Kurdistan irakien et le récit en image du jeune Niels Ackermann sur la jeunesse ukrainienne.
Follow the final days of @Visapourlimage. Interviews, reports and insights. https://t.co/WkSRBxGJzo
— World Press Photo (@WorldPressPhoto) 3 сентября 2016 г.