Il a aussi précisé que cette somme ne comprenait pas les dommages subis au sein de la société irakienne et parmi les groupes ethno-confessionnaux.
Le premier ministre a signalé en outre que s'il était nécessaire de le faire, l'Irak n'hésiterait pas à frapper les positions du groupe djihadiste État islamique dans les pays voisins. Cette déclaration a été faite dans le cadre des frappes aériennes déjà menées par Bagdad en Syrie, en février.
« Je n'hésiterai pas à frapper les positions terroristes dans les pays voisins s'ils menacent la sécurité de l'Irak », a déclaré M. Abadi lors d'un discours prononcé dans la province de Souleimaniyeh, agglomération située à 270 km au nord-est de Bagdad.
Le 7 mars, les forces armées irakiennes ont établi le contrôle sur un quartier stratégique à Mossoul — Teyyaran, principal bastion de Daech en Irak.
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