Cette déclaration intervient alors que cinq enfants et deux femmes pris en charge la semaine dernière dans un hôpital proche de Mossoul ont présenté des symptômes d'une exposition à un produit chimique toxique, selon le Comité international de la Croix-Rouge.
Mme Zakharova a assuré que Moscou suivait la situation du recours aux armes chimiques depuis mars 2013, date à laquelle l'un des premiers cas d'utilisation de sarin contre les troupes gouvernementales et la population civile a été enregistré.
La responsable a rappelé qu'après la prise de Mossoul, les combattants de Daech ont obtenu l'accès aux fonds d'une bibliothèque scientifique et de laboratoires universitaires situés dans la même région, ce qui a considérablement augmenté leurs capacités de synthétiser des substances toxiques. Un fait qui a été constaté par les experts occidentaux, a souligné Mme Zakharova, avant d'ajouter que dans ce contexte les évaluations de ces derniers présentent un intérêt certain.
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