Cette dernière a rappelé au début de sa question que depuis son entrée en fonction il y a deux mois, l'administration américaine actuelle avait été « éclaboussée par l'histoire avec la Russie et les écoutes » avant d'être interrompue par M. Spicer qui a affirmé que les journalistes avaient inventé cette histoire.
« Nous ne disposons pas de telles informations. Je vous dis depuis le début qu'il n'existe aucun lien », a statué le porte-parole.
Il a en outre estimé que si Donald Trump choisissait « une sauce russe pour sa salade », ce serait suffisant pour raviver le débat sur ses liens virtuels avec Moscou.
Le conseiller de Donald Trump à la sécurité nationale Michael Flynn a quitté son poste en février dernier au lendemain de la publication, dans le Washington Post, d'un article mentionnant une conversation téléphonique qu'il aurait eue en décembre avec M. Kisliak. Selon le journal, M. Flynn aurait alors évoqué le sujet des sanctions antirusses. Le Kremlin a de son côté démenti les informations fournies par le Washington Post.
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