Le service de presse du ministère norvégien de la Défense a déclaré qu'en dépit de l'accord préalable entre les parties, il n'avait pas été possible d'aboutir à un avis unanime concernant le déploiement du bouclier.
"Tout pays qui accepte de déployer des systèmes antimissiles sur son territoire se transforme immédiatement en cible. Après tout, selon la logique militaire, le principal objectif de toute opération consiste à détruire le centre de commandement. C'est pourquoi la réticence des politiciens norvégiens à installer le bouclier sur leur territoire s'explique avant tout par leur vision pragmatique de la situation", a expliqué Jiří Maštálka.
Néanmoins, l'Alliance continue d'affirmer que ses actions visent à développer les relations de partenariat avec d'autres pays dans leur propre intérêt.
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