«Ainsi, l'échec des forces politiques qui cherchaient à tout prix à saper une telle rencontre ou à porter atteinte à sa crédibilité a éclaté au grand jour. Parmi ces forces on compte notamment tous ceux qui accusent la Russie d'ingérence dans les élections américains, sans toutefois présenter de preuves tangibles», a-t-elle expliqué à Sputnik.
À en croire la professeure, le cessez-le-feu éventuel en Syrie annoncé dans la foulée de la rencontre pose un jalon très important à l'échelle internationale, en vue de rétablir la paix dans la région.
Pour rappel, le premier tête-à-tête entre Donald Trump et Vladimir Poutine s'est achevé vendredi à Hambourg, en marge du sommet du G20, après deux heures et demie de discussions. À son arrivée à la Maison-Blanche, Donald Trump, volontiers élogieux envers Vladimir Poutine, avait laissé entrevoir un rapprochement entre leurs deux pays.