Une équipe de chercheurs de l'Université de Waterloo (Ontario, Canada) est parvenue à démontrer que le corps féminin pouvait assimiler l'oxygène plus rapidement que le corps masculin, ce qui permettrait de réduire les pressions exercées sur l'organisme et constituerait un signe d'adaptation aux exercices d'aérobie, relate la revue Applied Physiology, Nutrition and Metabolism.
«Nous avons découvert que les muscles féminins assimilaient plus vite l'oxygène dissous dans le sang, ce qui témoignerait du point de vue scientifique d'un système d'aérobie parfait», ont souligné les chercheurs.
À les croire, l'organisme féminin a moins de chances d'accumuler de molécules responsables de la fatigue des muscles. Ainsi, cette nouvelle étude remettrait en question le point de vue affirmant que les corps masculins seraient plus «athlétiques» que ceux des femmes.