La journaliste Stéphanie Roy s'est fait frapper à coups de pied et de bouclier par un représentant des forces de l'ordres durant l'acte 16 des Gilets jaunes, samedi dernier à Bordeaux.
La femme a cependant filmé la scène et l'a postée sur son compte Twitter en précisant qu'au moment des faits, elle portait de manière visible un brassard de presse.
#Bordeaux
— Stéphanie Roy (@Steph_Roy_) 2 марта 2019 г.
Coups de pied et coups de bouclier, la liberté de la presse assurée 🤔
Camera et brassard presse pourtant visibles#GiletsJaunes #ActeXVI #Acte16 #2Mars #2mars2019 pic.twitter.com/uMOji3bzze
Ainsi, on voit dans la vidéo un policier en train de faire reculer Stéphanie Roy qui lui répète qu'elle est journaliste.
«Je recule mais vous n'avez pas le droit de me toucher comme ça», crie-t-elle alors que la caméra oscille.
Dans le même temps, une autre journaliste, Elsa Gambin, a dénoncé sur son compte Twitter un «collègue de l'agence Reuters visé délibérément par un tir de LBD40».
Le collègue de l'agence @Reuters visé délibérément par un tir de LBD40, touché à la fesse, soigné par les medics d'Angers. Énorme hématome. La ligue des droits de l'homme note tout. #Nantes #ActeXVI
— Elsa Gambin (@Elsa_Gambin) 2 марта 2019 г.
Le journaliste David Dufresne, qui dénonce depuis le début du mouvement les violences policières présumées sur son compte Twitter, a répondu à ce post en proposant son aide.
Si vous avez le temps, n'hésitez pas… à m'envoyer tout ce que vous pourrez à placeb@davduf.net
— David Dufresne (@davduf) 2 марта 2019 г.
Date
Lieu
Type d’incident
Type d’arme
Source (liens,)
Photos, vidéos, etc.
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