Les paroles que Merkel répétait lors de sa 3e crise de tremblements révélées par une spécialiste

© Sputnik . Iliya Pitalev / Accéder à la base multimédiaAngela Merkel
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Une spécialiste a réussi à lire sur les lèvres de la chancelière allemande ce que celle-ci a prononcé à plusieurs reprises à voix basse lors d’un nouvel accès de tremblements à la réception de son homologue finlandais, a indiqué la station de radio Antenne Bayern.

Grâce à la méthode de lecture labiale, il est possible de savoir ce que la chancelière allemande, Angela Merkel, se chuchotait lors de son troisième accès de tremblements. La femme politique répétait «je m’en sortirai», a déclaré la spécialiste en lecture labiale Judith Hanter à la station de radio Antenne Bayern.

La chef du gouvernement allemand a été prise d’une nouvelle crise de tremblements lors de sa rencontre avec le Premier ministre finlandais, Antti Rinnen, à Berlin. Sur la vidéo, on voit la chancelière balbutier des paroles. L’expert est certaine que Merkel était en train de répéter la phrase «je vais y arriver» [«Ich schaffe das», ndlr].

L’incident a eu lieu au moment de l’écoute des hymnes nationaux des deux pays. Le chef du gouvernement finlandais n’a pas réagi au malaise de son homologue. Plus tard, Angela Merkel a annoncé aux journalistes qu’elle se sentait bien et qu’il n’y avait pas de raisons de s’inquiéter.

Le lendemain de sa troisième crise de tremblements, la chancelière allemande s’est exceptionnellement assise sur une chaise lors d’une cérémonie militaire organisée ce jeudi 11 juillet à l’occasion de la visite de son homologue danoise, Mette Frederiksen.

Les autres accès de tremblements d’Angela Merkel

Mme Merkel avait pour la première fois été prise de tremblements en public lors de la réception du nouveau Président ukrainien, Volodymyr Zelensky, le 18 juin à Berlin. Le 27 juin, elle avait eu un nouveau malaise du même genre lors d'un entretien avec le Président allemand, Frank-Walter Steinmeier.

La chancelière avait attribué ses symptômes du 18 juin à une déshydratation liée à la forte chaleur qui régnait sur Berlin. Mais le 10 juillet, il faisait 20 degrés Celsius dans la capitale allemande, excluant ainsi tout incident lié à la chaleur.

Lors de sa deuxième crise, l’entourage de Mme Merkel a tenté d’expliquer son malaise par une réaction psychologique liée au souvenir anxieux de sa première crise du 18 juin.

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