Ces dernières années, la plupart des médias américains ont fait tourner en boucle l’affaire de la prétendue ingérence électorale russe aux États-Unis. Les millions de dollars dépensés sur une enquête et le rapport de 448 pages n’ont finalement fait ressortir que quelques publicités maladroites achetées par des Russes sur les réseaux sociaux et une bande de trolls à Saint-Pétersbourg.
Ce n’est pas la Russie qui est critiquée pour de telles pratiques au Canada, mais plutôt les États-Unis, en particulier une alliance de militants écologistes et de leurs riches bienfaiteurs du Parti Démocrate, qui s’ingèrent sous prétexte de lutter contre les changements climatiques, tout en empêchant le Canada de développer son secteur énergétique. Comment le Canada lutte-t-il contre ce phénomène? Pour répondre à cette question, Rachel Marsden reçoit Phil Gurski. Président de Borealis Threat and Risk Consulting au Canada, il a travaillé au sein des services de renseignement canadiens pendant plus de 30 ans, dont 15 pour le Service canadien de Renseignement de Sécurité.