Il croque dans un biscuit et recrache... une tête de souris

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En mangeant un biscuit Nutella, un petit garçon a recraché… la tête d’une souris, a indiqué le journal belge DH, ajoutant qu’actuellement l’enfant était hors de danger.

Un petit garçon d’à peine deux ans a vécu une expérience pour le moins traumatisante dans la ville de Chièvres en Belgique, a relaté La DH. En effet, alors qu’il venait de croquer à pleines dents dans un biscuit de Nutella de Ferrero acheté par son oncle dans une grande surface, sa bouille s’est transformée en grimace et sa grand-mère a eu à peine le temps de lui tendre un mouchoir pour qu’il recrache ce qu’il avait dans la bouche.

Quelle ne fut pas la désagréable surprise de ses proches quand ils ont constaté que le contenu du mouchoir était la tête d’une souris.

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«Une odeur s’apparentant à celle de la mort se dégageait de sa bouche […]. Ma belle-mère est devenue toute blanche après avoir compris qu’il s’agissait d’une tête de souris», a écrit la mère du bambin sur sa page Facebook.

L'enfant a été ausculté par son pédiatre et son médecin traitant, mais il n'a pas avalé la tête du rongeur et est hors de danger.

«Peu probable que cela vienne de notre chaîne»

Le journal belge a indiqué avoir réussi à joindre la direction de Ferrero.

«Nous allons […] mener des analyses en laboratoires. Ce qu’il se passe est évidemment très surprenant, mais il est très peu probable que cela vienne de notre chaîne de production», a déclaré un représentant de la marque à La DH.

Il a ajouté que tous les paquets sont «scannés, pesés et analysés pour repérer le moindre corps étranger», mais que lorsque le produit quitte l’usine, il est impossible «de savoir ce qu’il se passe durant le transport, dans les magasins et chez les consommateurs».

RTL Info a pour sa part contacté la porte-parole belge de la marque qui commercialise ce biscuit.

«Notre première réaction, c'est de se dire que c'est très peu probable que ça se produise sur nos chaînes de production, au vu des processus de contrôle qui sont mis en place et des normes rigoureuses que l'on suit», a-t-elle indiqué.

Elle a ajouté qu’il ne serait possible de dire quoi que ce soit à ce sujet qu’après avoir mené «une enquête approfondie».

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