La ville israélienne d'Ashkelon visée par une salve de roquettes palestiniennes

© Sputnik . Anderï Stenine  / Accéder à la base multimédiaAshkelon, archives
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Une fois de plus, des sirènes d'alarme ont été entendues dans le sud d'Israël, cette fois-ci à Ashkelon, à la suite du tir d'une vingtaine de roquettes depuis la bande de Gaza. Le pilonnage a entraîné l'ouverture des abris anti-bombes.

Les autorités de la ville israélienne d’Ashkelon, limitrophe avec l’enclave palestinienne ont ouvert les abris anti-bombes après que les sirènes d’alarme ont été entendues dans la ville, a annoncé un représentant des autorités locales.

«Après qu’une salve de roquette a été tirée sur la ville d’Ashkelon, le maire Tomer Glam a ordonné d’ouvrir les abris anti-bombe à travers la ville», a indiqué l’interlocuteur de Sputnik.

Et d’ajouter qu’il a été conseillé d’annuler les événements de masse et culturels dans la ville.

Prévenant d’une possible attaque à la roquette, les sirènes d’alerte avait été déclenchées plus tôt dans la journée du dimanche 23 février dans cette ville du sud Israël, d'après Tsahal.

​Dans un communiqué diffusé par le service de presse de l’armée israélienne, il est précisé que les sirènes ont été déclenchées dans les quartiers limitrophes avec Gaza.

10 projectiles interceptés

D’après Tsahal, 20 roquettes palestiniennes ont été tirées en direction d’Israël, dont la moitié a été interceptée par le Dôme de fer.

Les tirs de roquettes se multiplient

Les sirènes d’alerte retentissent régulièrement en Israël, dans les zones frontalières avec la bande de Gaza, après que Donald Trump a présenté le plan de paix qu'il a baptisé «accord du siècle».

Un soldat israélien devant une batterie du système Dôme de fer - Sputnik Afrique
Les sirènes d’alerte déclenchées dans le sud d’Israël
Le projet en question prévoit notamment l'institution d'un État palestinien et le maintien du statut de Jérusalem en tant que capitale indivisible d'Israël. Pour le Président des États-Unis, ce projet doit permettre de faire un «pas de géant» en direction de la paix entre Israéliens et Palestiniens.

Le Président palestinien, Mahmoud Abbas, a déjà rejeté ce plan, précisant que Jérusalem n'était pas à vendre et a déclaré que la Palestine rompait tout lien avec les États-Unis et Israël.

 

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