Une femme se fait voler 10.000 euros par son locataire Airbnb

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Une Australienne qui loue sa maison sur Airbnb a été volée par un client enregistré sur le site à l’aide de faux documents. Ce dernier a emporté 10.000 euros et un ordinateur grâce auquel il a acheté une voiture. Le service de réservation de logements offrira une indemnisation à la victime.

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Une femme est devenue victime d’un cambriolage après avoir loué sa maison à un homme par le biais de la plateforme de réservation de logements Airbnb en Australie, relate le 19 septembre le quotidien NZ Herald.

Selon le média, la propriétaire, qui loue son domicile depuis 2015 sans jamais avoir fait face à un incident négatif, s’est fait voler pour 13.000 dollars (10.000 euros).  

Une découverte inattendue

Comme le rapporte le quotidien, en ouvrant la porte de sa maison après que son client a quitté les lieux elle a découvert que tous les tiroirs des armoires étaient ouverts, ses affaires étaient en désordre et tous ses objets de valeur volés.

«Je me sentais comme dans un rêve, je sentais que cela arrivait à quelqu'un d'autre, cela ne pouvait pas être réel», a-t-elle déclaré au média.

Pourtant, quelques heures avant son arrivée, l’Australienne avait demandé à son locataire par message s’il avait bien dormi, celui-ci répondant «Tout va bien, merci!».

En plus des objets d’une valeur de 10.000 euros, elle a remarqué la disparition de l'ordinateur portable sur lequel les données de sa carte bancaire avaient été sauvegardées. Le suspect a réussi à acheter avec une voiture pour 5.000 dollars (4.200 euros) sur eBay.

D’après le média, il a utilisé de faux documents pour s’inscrire bien qu'Airbnb affirme que tous ses utilisateurs sont soumis à des contrôles de sécurité rigoureux.

La police mène une enquête. La propriétaire recevra une importante indemnisation.

Le chef de la politique publique d'Airbnb, Derek Nolan, cité par le quotidien, a déclaré que la société «a une tolérance zéro pour une telle activité illégale et nous prenons les rapports extrêmement au sérieux», en ajoutant que le malfrat avait été retiré de la plateforme.

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