La Russie est passée à une démocratie parlementaire, lorsque tous les mécanismes démocratiques fonctionnent d’une manière agencée. C’est l’opinion qu’a exprimé le premier vice-Premier ministre Dmitri Medvedev devant des journalistes réunis dans la ville sibérienne de Tioumen. Un commentaire de notre observateur politique Viktor Ienikéev.
Pour appuyer ses propos Dmitri Medvedev parlait de la stabilité qu’on avait pu instaurer en ces huit ans, des améliorations réalisées dans les sphères économique et sociale. Mais l’on peut dire sans exagération aucune qu’elles ont touché toutes les autres. C’est ce que montrent les résultats des sondages réguliers de l’opinion. Aussi toujours plus de Russes se disent-ils assurés du lendemain tant sur le plan personnel, qu’au regard de l’avenir de l’ensemble du pays.
En fait, les évidents succès du président Vladimir Poutine et des membres de son équipe en politique intérieure comme extérieure en ces huit années sont hautement évalués pratiquement dans le monde entier. Pour cette raison l’influent magazine américain « Time » a désigné le dirigeant russe « personnalité de l’année ». On comprend que ces succès reposent sur une large base. Mais il importe que durant cette période on a su ordonner l’appareil d’Etat, assurer une interaction efficace entre diverses branches du pouvoir, avant tout, entre le gouvernement et le parlement. Le pays ne voit plus les passions se déchaîner dans la salle de l’organe législatif suprême, et les députés faire de belles promesses qui ne seraient jamais tenues. L’organisation du parti « Russie Unie » soutenant le chef de l’Etat et sur lequel il prenait à son tour appui dans ses activités a joué un grand rôle. Devenu largement majoritaire à la chambre basse du parlement, il a assuré une adoption opportune des lois, nécessaires pour appliquer des réformes démocratiques dans diverses sphères de la vie sociale. L’électorat russe a apprécié le fonctionnement des structures étatiques, en donnant plus de 60% des voix aux candidats de Russie Unie, dont la liste était conduite par le président Poutine.
Pour appuyer ses propos Dmitri Medvedev parlait de la stabilité qu’on avait pu instaurer en ces huit ans, des améliorations réalisées dans les sphères économique et sociale. Mais l’on peut dire sans exagération aucune qu’elles ont touché toutes les autres. C’est ce que montrent les résultats des sondages réguliers de l’opinion. Aussi toujours plus de Russes se disent-ils assurés du lendemain tant sur le plan personnel, qu’au regard de l’avenir de l’ensemble du pays.
En fait, les évidents succès du président Vladimir Poutine et des membres de son équipe en politique intérieure comme extérieure en ces huit années sont hautement évalués pratiquement dans le monde entier. Pour cette raison l’influent magazine américain « Time » a désigné le dirigeant russe « personnalité de l’année ». On comprend que ces succès reposent sur une large base. Mais il importe que durant cette période on a su ordonner l’appareil d’Etat, assurer une interaction efficace entre diverses branches du pouvoir, avant tout, entre le gouvernement et le parlement. Le pays ne voit plus les passions se déchaîner dans la salle de l’organe législatif suprême, et les députés faire de belles promesses qui ne seraient jamais tenues. L’organisation du parti « Russie Unie » soutenant le chef de l’Etat et sur lequel il prenait à son tour appui dans ses activités a joué un grand rôle. Devenu largement majoritaire à la chambre basse du parlement, il a assuré une adoption opportune des lois, nécessaires pour appliquer des réformes démocratiques dans diverses sphères de la vie sociale. L’électorat russe a apprécié le fonctionnement des structures étatiques, en donnant plus de 60% des voix aux candidats de Russie Unie, dont la liste était conduite par le président Poutine.
Ces huit ans ont jeté les bases d’un développement heureux de la Russie dans la voie de démocratie parlementaire. Les gens sont surs que cette ligne ne sera pas abandonnée, vu sa continuité garantie. Puisque M.Poutine a accepté de devenir Premier ministre si le premier vice-président Dmitri Medvedev est élu président de Russie. La plupart des observateurs n’en doutent pas.
C’était notre observateur politique Viktor Ienikéev.
C’était notre observateur politique Viktor Ienikéev.
