La Russie étend une coopération mutuellement avantageuse avec des pays latino-américains. C’est ce qu’a démontré la visite de la délégation russe, conduite par le vice-Premier ministre Igor Setchine à Cuba et au Venezuela. A en juger d’après les accords signés, le business russe développe énergiquement ses activités en Amérique latine, remarque notre observateur Alexandre Vatoutine.
L’interaction économique avec ces pays repose sur le partenariat et la coopération qui tient compte des intérêts mutuels, estime le chef de la délégation russe. Rien qu’à Cuba les négociations ont porté sur l’énergie, l’agriculture, la pharmacologie et tous les types de transport.
De La Havane les délégués russes se sont rendus au Venezuela pour concerter les quantités indispensables de l’aide humanitaire et économique à fournir à Cuba, ayant récemment souffert des ouragans violents. Pour la Russie il est avant tout question de réparer des réseaux énergétiques et de livrer des vivres. La partie cubaine apprécie particulièrement le fait de recevoir de l’aide proposée par le pays ami ancien, n’abandonnant jamais dans le malheur les habitants de l’île de la Liberté.
L’interaction économique avec ces pays repose sur le partenariat et la coopération qui tient compte des intérêts mutuels, estime le chef de la délégation russe. Rien qu’à Cuba les négociations ont porté sur l’énergie, l’agriculture, la pharmacologie et tous les types de transport.
De La Havane les délégués russes se sont rendus au Venezuela pour concerter les quantités indispensables de l’aide humanitaire et économique à fournir à Cuba, ayant récemment souffert des ouragans violents. Pour la Russie il est avant tout question de réparer des réseaux énergétiques et de livrer des vivres. La partie cubaine apprécie particulièrement le fait de recevoir de l’aide proposée par le pays ami ancien, n’abandonnant jamais dans le malheur les habitants de l’île de la Liberté.
La commission bilatérale de haut niveau s’est réunie dans la capitale vénézuélienne – Caracas. En dressant un bilan des pourparlers, Igor Setchine a noté que les domaines de coopération des deux pays sont variés : énergie, construction navale et automobile, instruction, recherche et culture. Les compagnies russes participent activement à la mise en valeur des champs pétroliers et gaziers et à l’étude du projet de construction d’un gazoduc panaméricain.
Au regard des experts, la sortie du business russe sur le marché latino-américain contribue surtout à l’essor des économies nationales du continent, mais importe également afin de promouvoir les processus d’intégration. Le besoin de la solidarité latino-américaine est confirmé par les récents événements en Bolivie, où Washington applique son scénario visant à ébranler les systèmes politiques du continent. Boris Martynov en dévoile le sens à notre correspondant.
Cette stratégie, étudiée dans les milieux académiques des Etats-Unis et au département d’Etat, a pour objectif de faire régner un chaos contrôlé — ne pas laisser s’unir et se consolider les pays qui connaissent une croissance dynamique, et au possible, gérer ce chaos depuis Washington.
La volonté des pays de la région de résister à de tels scénarios est naturelle. Le développement dynamique de l’Amérique du Sud confirme la thèse sur le polycentrisme du monde contemporain, qui ne peut pas être gouverné depuis un seul centre.
Au regard des experts, la sortie du business russe sur le marché latino-américain contribue surtout à l’essor des économies nationales du continent, mais importe également afin de promouvoir les processus d’intégration. Le besoin de la solidarité latino-américaine est confirmé par les récents événements en Bolivie, où Washington applique son scénario visant à ébranler les systèmes politiques du continent. Boris Martynov en dévoile le sens à notre correspondant.
Cette stratégie, étudiée dans les milieux académiques des Etats-Unis et au département d’Etat, a pour objectif de faire régner un chaos contrôlé — ne pas laisser s’unir et se consolider les pays qui connaissent une croissance dynamique, et au possible, gérer ce chaos depuis Washington.
La volonté des pays de la région de résister à de tels scénarios est naturelle. Le développement dynamique de l’Amérique du Sud confirme la thèse sur le polycentrisme du monde contemporain, qui ne peut pas être gouverné depuis un seul centre.
