Le journal « Komsomolskaia Pravda » parle des changements dans la législation à partir du 1 janvier 2010. Une nouvelle loi entre en viguer : selon elle, le capital propre des banques ne peut pas être inférieur à 90 millions de dollars. Les impôts sociaux ne changeront pas l’année prochaine. Le terme « valorisation » ne semble pas agréable aux Russes, mais les retraités en parlent avec espoir ces derniers temps. Les fonctionnaires appellent « valorisation » une nouvelle façon de calculer les allocations de retraite. Ceux qui ont pris la retraite avant 1991, verront leurs allocations monter de 10%, plus 1% pour chaque année de travail pendant la période soviétique. En plus, à partir du Nouvel an, les compagnies qui font des bases de données de leurs clients, seront obligées de prendre des mesures pour protégéer l’information confidentielle. Autrement dit, elles devront avoir des procédés certifiés de protection de cette information, écrit le journal « Komsomolskaia Pravda ».
Il est difficile de se représenter la fête de Nouvel An sans champagne, écrit l’hebdomadaire « Sobesednik ». Même ceux qui n’aiment pas trop ce vin mousseux, lèvent leurs verres au son du carillon du Kremlin. Mais il est plus agréable de porter des toasts pour la réalisation des aspirations lorsqu’il s’agit d’un vrai champagne russe, que l’on buvait au début du 20e siècle dans les meilleures maisons de l’Europe. Pour le moment, nous achetons, par la force de l’inertie, le prétendu « Champagne soviétique », qui reste dans des réservoirs fermés pendant deux semaines seulement. Ensuite, pour que les bulles d’air apparaissent, on y ajoute de l’oxyde du carbone. Mais les vrais gourmets préfèrent le champagne classique, toujours produit au XXI siècle suivant des technologies hand made. Pendant trois ans, le vin murit dans des sous-sols frais, des bulles apparaissent naturellement, pendant la fermentation. Dans une telle boisson, les bulles sont plus petites, ce qui souligne la saveur, le champagne reste pétillant plus longtemps. Il ne faut pas croire que de bons vins classiques coutent les yeux de la tête et viennenet de l’étranger. En Russie, chaque famille peut se permettre de goûter du vrai champagne grâce au prince Lev Golytsine. A la fin du XIX siècle, il a expérimenté avec la production du champagne russe dans son domaine « Novy Svet » en Crimée. Le prince a utilisé ses propres recherches et l’expérience pratique accumulée au cours de longues années de travail en Champagne et en Crimée, dit l’hebdomadaire « Sobesednik ».
Lorsqu’un Russe moyen se réveille le matin ou revient chez lui le soir, il fait deux choses d’abord : allume la lumière puis la télé, affirme l’hebdomadaire « Argoumenty i facty ». Que voit-il à la télé ? Pour la plupart de la population russe, surtout dans des endroits éloignés de province, une télé – c’est une fenêtre ouverte sur le monde. Il apprend des nouvelles grâce à la télé, il apprend à résoudre des conflits ou des problèmes. La télé lui remplace le cinéma. Mais, ces derniers temps, les chaines de télévision font leurs programmes en donnant la préférence aux divertissements, soi-disant, à cause de la côte plus élevée des shows. Elles prétendent que c’est la population qui le veut, qui le choisit. Mais les spectateturs, qu’est-ce qu’ils choisissent ? Ils font leur choix entre le mauvais et le très mauvais – entre la violence et l’humour, ils préféreront l’humour. Mais ces ratings ne prennent pas en compte les vrais souhaits des Russes. Les sondages d’opinion montrent que les gens veulent regarder des films soviétiques, des débats télévisés sur des questions actuelles et aigues, des concerts de musique classique. Mais l’avis des spectateurs n’est pas pris en compte. Un conseil social sur la télévision pourrait devenir un pont entre les millions de Russes et les chaines de télévision, affirme l’hebdomadaire « Argoumenty i facty ».
Il est difficile de se représenter la fête de Nouvel An sans champagne, écrit l’hebdomadaire « Sobesednik ». Même ceux qui n’aiment pas trop ce vin mousseux, lèvent leurs verres au son du carillon du Kremlin. Mais il est plus agréable de porter des toasts pour la réalisation des aspirations lorsqu’il s’agit d’un vrai champagne russe, que l’on buvait au début du 20e siècle dans les meilleures maisons de l’Europe. Pour le moment, nous achetons, par la force de l’inertie, le prétendu « Champagne soviétique », qui reste dans des réservoirs fermés pendant deux semaines seulement. Ensuite, pour que les bulles d’air apparaissent, on y ajoute de l’oxyde du carbone. Mais les vrais gourmets préfèrent le champagne classique, toujours produit au XXI siècle suivant des technologies hand made. Pendant trois ans, le vin murit dans des sous-sols frais, des bulles apparaissent naturellement, pendant la fermentation. Dans une telle boisson, les bulles sont plus petites, ce qui souligne la saveur, le champagne reste pétillant plus longtemps. Il ne faut pas croire que de bons vins classiques coutent les yeux de la tête et viennenet de l’étranger. En Russie, chaque famille peut se permettre de goûter du vrai champagne grâce au prince Lev Golytsine. A la fin du XIX siècle, il a expérimenté avec la production du champagne russe dans son domaine « Novy Svet » en Crimée. Le prince a utilisé ses propres recherches et l’expérience pratique accumulée au cours de longues années de travail en Champagne et en Crimée, dit l’hebdomadaire « Sobesednik ».
Lorsqu’un Russe moyen se réveille le matin ou revient chez lui le soir, il fait deux choses d’abord : allume la lumière puis la télé, affirme l’hebdomadaire « Argoumenty i facty ». Que voit-il à la télé ? Pour la plupart de la population russe, surtout dans des endroits éloignés de province, une télé – c’est une fenêtre ouverte sur le monde. Il apprend des nouvelles grâce à la télé, il apprend à résoudre des conflits ou des problèmes. La télé lui remplace le cinéma. Mais, ces derniers temps, les chaines de télévision font leurs programmes en donnant la préférence aux divertissements, soi-disant, à cause de la côte plus élevée des shows. Elles prétendent que c’est la population qui le veut, qui le choisit. Mais les spectateturs, qu’est-ce qu’ils choisissent ? Ils font leur choix entre le mauvais et le très mauvais – entre la violence et l’humour, ils préféreront l’humour. Mais ces ratings ne prennent pas en compte les vrais souhaits des Russes. Les sondages d’opinion montrent que les gens veulent regarder des films soviétiques, des débats télévisés sur des questions actuelles et aigues, des concerts de musique classique. Mais l’avis des spectateurs n’est pas pris en compte. Un conseil social sur la télévision pourrait devenir un pont entre les millions de Russes et les chaines de télévision, affirme l’hebdomadaire « Argoumenty i facty ».
