Une des priorités du gouvernement russe en 2010, c’est la consolidation des tendances positives dans les secteurs clés de l’économie russe. C’est l’idée principale du programme des mesures anticrises publié sur le site officiel du Cabinet des ministres de Russie.
Ainsi, le gouvernement constate que la phase active de la crise économique qui a éclaté à la fin de 2008, a pu être surmontée en Russie. A partir de la seconde moitié de 2009, une hausse économique dans le pays reprend. En même temps, les experts constatent que, premièrement, cette hausse n’est pas encore stable, deuxièmement, elle est basée pour beaucoup sur la reproduction de l’ancien modèle du développement, lié avec les matières premières. Donc, dans le nouveau programme anticrise, des objectifs déclarés dans la conception du développement à long terme passent au premier plan. Il s’agit de la création d’un nouveau potentiel industriel, de formation d’une économie innovante. Les mesures anticrises seront poursuivies au cours de cette année, mais elles seront liées avec la modernisation et les réformes structurelles. Ici le commentaire du directeur du Centre de politique sociale de l’Institut de l’Economie Evgueny Gontmakher :
Pour la Russie, la sortie de la crise, c’est un passage vers une autre économie, et non vers celle que nous avions. Donc, il faudra résoudre les questions urgentes, mais, en même temps, former un large programme du passage vers une économie innovante. Ce sont des tâches assez difficiles, et l’année 2010, ce sera la dernière occasion de les accomplir toutes les deux. C'est-à-dire, maintenir la situation, ne pas permettre qu’elle s’altère radicalement, jeter les bases pour une hausse économique qualitatif, qui ne soit pas basé uniquement sur la hausse des prix des hydrocarbures. Alors, on pourra espérer qu’en 2010, ce sera fait pas les efforts conjugués du gouvernement et de toute la communauté des experts, a conclu notre invité.
Ainsi, le gouvernement constate que la phase active de la crise économique qui a éclaté à la fin de 2008, a pu être surmontée en Russie. A partir de la seconde moitié de 2009, une hausse économique dans le pays reprend. En même temps, les experts constatent que, premièrement, cette hausse n’est pas encore stable, deuxièmement, elle est basée pour beaucoup sur la reproduction de l’ancien modèle du développement, lié avec les matières premières. Donc, dans le nouveau programme anticrise, des objectifs déclarés dans la conception du développement à long terme passent au premier plan. Il s’agit de la création d’un nouveau potentiel industriel, de formation d’une économie innovante. Les mesures anticrises seront poursuivies au cours de cette année, mais elles seront liées avec la modernisation et les réformes structurelles. Ici le commentaire du directeur du Centre de politique sociale de l’Institut de l’Economie Evgueny Gontmakher :
Pour la Russie, la sortie de la crise, c’est un passage vers une autre économie, et non vers celle que nous avions. Donc, il faudra résoudre les questions urgentes, mais, en même temps, former un large programme du passage vers une économie innovante. Ce sont des tâches assez difficiles, et l’année 2010, ce sera la dernière occasion de les accomplir toutes les deux. C'est-à-dire, maintenir la situation, ne pas permettre qu’elle s’altère radicalement, jeter les bases pour une hausse économique qualitatif, qui ne soit pas basé uniquement sur la hausse des prix des hydrocarbures. Alors, on pourra espérer qu’en 2010, ce sera fait pas les efforts conjugués du gouvernement et de toute la communauté des experts, a conclu notre invité.
Cette année, le gouvernement focalisera également son attention sur le maintien de la stabilité sociale et la protection des intérêts de la population. Notamment, les allocations sociales en 2010 dépasseront le niveau prévu de l’inflation. En gros, une conjoncture économique extérieure favorable et une réalisation efficace des mesures anticrises assureront en 2010 une dynamique stable de la plupart d’indices macroéconomiques.
