Le sommet de l’UE à Bruxelles a engagé ses travaux dans le contexte des divergences politiques et économiques. Il était prévu d’élaborer les mécanismes de stabilisation financière dans l’eurozone mais vu la démission inattendue du gouvernement portugais et le conflit armé en Libye, il a fallu réviser l’ordre du jour.
Un « refroidissement » dans les relations entre la France et l’Allemagne est signalé en marge du sommet. La France a inspiré l’opération armée contre la Libye et l’Allemagne a refusé d’y participer.