Au début de sa conférence de presse commune avec le Premier ministre japonais, Shinzo Abe, le deuxième jour de sa visite d'Etat au Japon, François Hollande a évoqué la prise d'otage d'In Amenas en Algérie, en janvier dernier et a tenu à exprimer ses condoléances au « peuple chinois ». Mais l’accident diplomatique n’aura pas lieu car « dans un souci diplomatique, la traductrice a corrigé l'impair », explique l'envoyé spécial du Figaro.
Les équipes de l'Elysée se pressent alors pour expliquer ce lapsus. Elles évoquent la « fatigue » du président.
De leur côté les Japonais ont également commis un impair en prenant la ministre Fleur Pellerin pour la femme de Guillaume Garot, ministre délégué chargé de l’agroalimentaire