La plupart des ambassadeurs des 28 pays de l'Alliance ont dû interrompre leurs vacances. Le service de presse de l'OTAN insiste cependant que la rencontre n'est pas « extraordinaire ».
La réunion portera sur la possibilité d'une intervention militaire en Syrie sans le consentement du Conseil de sécurité de l'ONU. Les experts estiment que Washington, Paris et Londres tâcheront d'évaluer la réaction de leurs alliés otanais s'ils lancaient une opération indépendante contre la Syrie.