« La Grèce n'aurait pas dû être autorisée à entrer dans l'euro », a déclaré Mme Merkel devant ses partisans du parti Union chrétienne-démocrate dans la ville de Rendsburg mardi. Elle a dénoncé l'ancien chancelier allemand Gerhard Schröder qui a pris cette décision et a « affaibli le Pacte de Stabilité ».
Angela Merkel, qui espère remporter un troisième mandat lors des élections du 22 septembre, a exprimé son désir de voir une monnaie unique forte, mais a averti que cela ne pouvait se faire que grâce à des réformes dans les pays en difficulté comme la Grèce.