« Nous disons à M. (François) Hollande (président français) que tout est clair pour nous (...) depuis cette comédie au stade de Bamako au cours de laquelle a été installée cette +chose+ qui s'appelle Ibrahim Boubacar Keïta comme nouveau fonctionnaire au service des intérêts de ses maîtres » français au Mali, indique le texte.
« Cette investiture, intervenue au terme d'une mascarade électorale (...), constitue un maillon supplémentaire dans le processus d'humiliation des peuples musulmans et l'anéantissement de leurs espoirs d'accéder à la liberté et de vivre sous le régime de leur Charia », la loi islamique, selon le communiqué.
Aqmi ajoute que le « compte à rebours a commencé pour l'hégémonie de la France en Afrique » et que la « victoire » des jihadistes contre Paris « n'est plus qu'une question d'heures », rapporte l’AFP.