Les violences ont atteint ces derniers mois un niveau inédit depuis cinq ans et des insurgés, dont certains liés à Al-Qaïda, visent régulièrement les forces de sécurité et d'autres fonctionnaires dans le pays.
« Il est désormais clair (...) que l'Irak subit une guerre de génocide ciblant toutes ses composantes », a affirmé M. Maliki au cours de son allocution hebdomadaire.
Al-Qaïda est de nouveau en train de « détruire les maisons des citoyens et de les tuer, et de faire sauter les institutions gouvernementales », a-t-il ajouté.