« La Russie a assuré la présidence du G8 dans des moments cruciaux, lorsque des avancées sur les questions syrienne et iranienne se dessinaient, mais qu’elles n’étaient pas encore réalisées. Le G8 a une très grande responsabilité : ne pas affaiblir, mais renforcer les tendances positives qui se profilaient dans la politique internationale fin 2013 », déclare Alexeï Pouchkov.
Selon le député, la Russie, en tant que président du G8, « peut tout à fait donner le ton pour renforcer ces tendances positives ».