Al-Maliki affirme que Riyad et Doha fournissent un soutien politique, financier et informationnel de militants en Irak, ainsi que leur fournissant des armes.
Le Premier ministre irakien, appartenant à majorité chiite du pays, a également déclaré que toutes les allégations de persécution des sunnites en Irak sont exprimées par des groupes religieux liés à l'Arabie saoudite ou au Qatar.