Mme Pillay, dont le mandat se termine, a déclaré dans son discours que le Conseil avait privilégié a maintes fois des intérêts géopolitiques de court terme et une conception étroite des intérêts nationaux à des graves violations de la sécurité internationale et à la défense de la vie de milliers de victimes.
Toutefois, elle a noté qu'elle avait considéré comme contre-productive une pratique dans le cadre de laquelle certains membres du Conseil de sécurité opposaient leur veto à des décisions du Conseil. Cependant, elle n’a pas précisé desquels pays il s’agissait.