"Rosoboronexport est prêt à appliquer des schémas souples de règlements réciproques", a-t-il affirmé, ajoutant qu'il s'agissait notamment de la création de coentreprises et de la mise en valeur de gisements. "Ces schémas offrent aux pays africains une possibilité supplémentaire d'acquérir les armements russes les plus modernes".
De son côté, le porte-parole de Rosoboronexport a fait savoir à RIA Novosti que l'agence accepterait à titre de paiement des articles traditionnels d'exportation africaine: diamants, bois, coton, huile de palme et café.
"Nous serions également intéressés par des quotas de production de ressources minérales et de fruits de mer, ainsi que par la création de coentreprises dans la pêche, les industries minière et pétrolière, ainsi que dans le domaine du déminage des territoires", a souligné le porte-parole.