«Nous avions besoin urgent de ces systèmes parce que nous n'avions pas de système de défense antiaérienne. Nous avons eu du mal à acheter des armes plus simples aux États-Unis à cause des doutes au sein du Congrès. Il nous fallait bien acheter quelque chose à quelqu'un», a indiqué M.Çavusoglu dans un entretien accordé au journal allemand Die Zeit.
Auparavant, la secrétaire général délégué de l'Otan Rose Gottemoeller avait souligné que les S-400 russes étaient incompatibles avec les systèmes de défense antimissile qui étaient actuellement en service dans les pays membres de l'Alliance atlantique.
En septembre dernier, le Service fédéral russe pour la coopération militaire et technique (FSVTS) avait annoncé que Moscou et Ankara avait signé un accord prévoyant la livraison de plusieurs systèmes S-400 en Turquie.Le S-400 Triumph est le système de défense antiaérienne et antimissile russe le plus moderne, capable également de détruire des cibles terrestres. La portée des missiles qui équipent le S-400 dépasse les 400 kilomètres. Ils peuvent atteindre une altitude de 30 kilomètres.
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