Selon celui-ci, les employeurs en Russie et Biélorussie ne sont pas obligés d'obtenir des certificats d'autorisation spéciaux pour engager des mains-d'oeuvre. En outre, les salariés dans les deux pays bénéficient des mêmes droits en ce qui concerne le placement, la rémunération, la protection et les conditions du travail.
Pour M.Ianovitch, les deux parties ont pour objectif de prendre des mesures précises visant à favoriser la liberté de déplacement des travailleurs migrant au sein de l'Union Russie-Biélorussie.
Pour former un marché commun du travail, il sera nécessaire de créer une source d'information unique sur l'emploi et un système automatisée interétatique de ce marché.
Une base de données sur les postes vacants, les conditions et la rémunération du travail est aussi indispensable.
Le responsable du Comité permanent a fait remarquer que des ententes sont en vigueur dans le cadre de l'Union qui visent à assurer les droits égaux en matière d'accès à l'enseignement supérieur, à reconnaître les diplômes universitaires, les grades et les titres universitaires.
